Hier soir, à l'émission "mots croisés", les intervenants ont enfin commencé parler de statistiques ethniques par rapport à la délinquance.
Rien n'est pire, en effet, que de nier la réalité. Il y a un inconscient collectif et les gens captent ce qu'on veut leur cacher, 30 % de langage verbal, 70 % de langage non verbal.
Comment résoudre des problèmes, en effet, si on en cache les données ? comment trouver des solutions éducatives pour lutter contre l'obscurantisme ? comment remplacer la propagande de certains pour récupérer une jeunesse prête à tout gober ?en perte de repères et qui on a donné aucune règle éducative, or, un enfant élevé sans codes devient fou.
Et oui, on libère la parole et c'est très bien. Non, la pauvreté n'engendre pas obligatoirement la délinquance. Voir la condition des pêcheurs de certains petits agriculteurs, la condition de certains étudiants, qui eux, n'ont pas forcément l'aide qu'à une autre population.
C'est l'évolution de conscience qui éradique la délinquance, c'est l'ouverture de l'esprit, c'est l'éducation, mais, bien sûr, la pauvreté n'arrange rien.
Moi, j'en ai marre, qu'on traite une partie de la population en "irresponsables" parce qu'ils vivent dans des cités.
Les principales victimes de cet angélisme habitent les cités, ils bossent, on leur crame leur voiture, les filles sont violées, on agresse pour une cigarette, on fait fuir les homosexuels.
La majorité de cette population immigrée (et oui, à l'heure actuelle, même prononcer ce mot là...) est tranquille, élève bien ses enfants, ne pose pas de problèmes, mais
Il ya une autre partie de celle-ci qui est élevée sans règles, vit sous la loi des "grands frères" pourquoi d'ailleurs les médias utilisent ce mot là sans complexe, est ce normal cette éducation là ?et est récupérée par des extrêmites.
Pourquoi est il interdit de le dire ?
Cela m'est égal d'être traitée de tous les noms par ceux qui veulent fermer le yeux, mais je le redis : sans une éducation des parents, la délinquance va s'amplifier et on va vers le pire.